CATHARSIS

Photographe mais aussi plasticien, Pierre-Elie de Pibrac transcrit en images surprenantes et subjectives l’énergie dégagée par les corps dansants. Dans une inspiration très picturale, sans aucune retouche, il a transformé un objectif datant des années 60 pour l’adapter à son appareil. Ses photos couleur racontent son ressenti et restituent visuellement les émotions suscitées par les représentations scéniques. Une approche très personnelle et abstraite de la danse.

ANALOGIA

En mettant en scène, avec un angle de prise de vue très large, les danseurs du Ballet dans divers espaces du Palais Garnier, Pierre-Elie de Pibrac compose 14 « scènes de danse » qui célèbrent la magie du lieu.

CONFIDENCES

Avec un télémétrique à objectif fixe de 23 mm, Pierre-Elie de Pibrac s’est glissé dans l’intimité des danseurs du Ballet de l’Opéra pour photographier au plus près les corps dansants.